Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
ASSOCATION GENERATION CONSCIENTE
ASSOCATION GENERATION CONSCIENTE
Derniers commentaires
Archives
7 septembre 2007

HISTORIQUE SUR LE TOGO

HISTORIQUE

Le Togo tire son nom de Togo, actuellement Togoville. Togoville est la localité dont le chef traditionnel M’Lapa III signa les 4 et 5 juillet 1884 avec l’émissaire allemand, le Dr G. Natchigal, le traité de protectorat allemand. Ce traité fut signé à Baguida, localité située à

13 Kilomètres

de Lomé.
En 1914, le Togo, dans ses frontières, s’étendait sur 90 500 Km². Suite à

la Première Guerre

Mondiale, le pays fut divisé en deux territoires : le Togo occidental, avec 33 900 Km² administré par

la Grande

–Bretagne et le Togo oriental d’une superficie de

56 600 Km

, placé sous mandat français.
Seule la partie orientale constitue l’actuelle République togolaise. Indépendant depuis le 27 avril 1960 après les périodes d’administration allemande puis française, le Togo est le seul pays au monde dont la capitale, Lomé se situe sur une frontière.



LE TOGO DANS SA PROFONDEUR

Comme le Bénin voisin, le Togo est un pays qui s’étire vers le nord. Certains n’hésitent d’ailleurs pas à l’assimiler à un corridor, voire à un rectangle très allongé. Mais tous, et les Togolais les premiers, s’accordent à reconnaître que le Togo est un pays - de par sa taille - noyé dans l’immensité africaine.

Relief

Du point de vue du relief, les visiteurs sont tout de suite frappés par cette succession de chaînes de montagnes et de plaines qui semble sans fin. Au Togo, les montagnes forment une sorte d’armature du territoire national.
Du nord au sud du pays, l’on rencontre ainsi successivement les monts de Défalé (dans la région septentrionale) qui culminent à près de

670 mètres

et sont formés de chaînes dissymétriques. Viennent ensuite les monts Kabyè composés de la chaîne Lama, de la montagne Assiré et des monts Boufalé.
Dans la région centrale, les massifs du Tchaoudjo avec les monts d’Alédjo qui cachent de surprenantes gorges, des vallées profondes et des paysages ruiniformes qui succèdent aux monts Dimouri, aux collines de Bandjéli et aux montagnes de Bassari et de Kabou. Les Malfakassa et les monts Fazao surplombent, pour leur part, des vallées encaissées et la plaine du Mô. L’altitude de toutes ces montagnes de la région centrale est variée, offrant des pointes comprises entre 500 et

850 mètres

, les sommets les plus hauts étant situés dans le nord et les sommets les plus bas plutôt dans le sud.
Dans la région des Plateaux, le plateau d’Akposso ou de Dayes, le massif des Fétiches, les monts Loboto, Toklo, Haïto et le mont Agou sont les plus connus. Le mont Agou constitue d’ailleurs le point culminant du Togo avec le pic d’Agou qui revendique près de

980 mètres

. Au total, l’ensemble montagneux occupe le quart du territoire. La région Maritime et la région des Savanes sont pour leur part les zones de prédilection des plaines du Togo.

Climat

Dans l’ensemble, le Togo jouit d’un climat intertropical dû à sa latitude et à son altitude. Mais il varie de la région méridionale à la région septentrionale. Pour ce qui est des températures, les régions de plaine offrent une amplitude comprise entre 19 ° C et 34° C, tandis que dans les régions montagneuses la variation se situe entre 18 ° C et

29°C

. Les régions les plus douces sont celles des montagnes boisées et des plateaux, les plus chaudes étant celles des montagnes dénudées et une partie des plaines.
Les saisons sont elles aussi variées selon les régions.
Dans la région côtière, quatre saisons coexistent : la grande saison des pluies de mars à juillet, la petite saison sèche d’août à septembre, la petite saisons des pluies de septembre à novembre. Dans la région des montagnes, la grande saison des pluies peut se poursuivre jusqu’en septembre.
Dans la région Nord, deux saisons se succèdent : la saison des pluies (mars-avril à octobre-novembre) et la saison sèche (octobre-novembre à mars –avril)

Hydrographie

Corollaire de la climatologie, l’hydrographie est très variée au Togo. Les montagnes qui ceignent le pays font ressortir schématiquement deux grands bassins : le bassin de l’Oti au nord et le réseau du Mono au centre et au sud. Les principaux châteaux d’eau sont les monts Alédjo, Fazao et le plateau d’Akposso.
L’Oti est la rivière la plus importante du Togo. Elle prend sa source dans l’Atakora au Bénin, à plus de

500 mètres

d’altitude et fait frontière avec le Ghana sur 300 puis se jette dans la volta. Au centre et au sud du pays, le Mono est la rivière dominante, son embouchure, elle fait frontière avec le Bénin.
Les lacs et les lagunes sont l’une des richesses hydrographiques du pays. La lagune du Togo, d’origine marine, trouve des prolongements au Ghana comme au Bénin et toutes les rivières s’y jettent. Les lacs de Zowla et le lac Togo (50Km2), d’origine également marine, sont des pôles d’attraction touristique.

Végétation

Le littoral du Togo frappe par son manque de végétation qui s’explique par le déboisement, déboisement effectué dans le souci de développer l’agriculture, ou encore par le peuplement intensif de cette région (sans parler des méfaits de plus en plus importants causés par les feux de brousse et toutes les méthodes de culture instaurées par l’homme).
Le visiteur qui traverse le Togo du nord vers le sud est frappé de rencontrer successivement une zone de végétation sahélienne de type steppe, une zone de savane arborée, une zone de forêt, quelques palmeraies aménagées çà et là, une zone de bois, rappelant qu’il exista jadis dans ce pays un grand nombre de baobabs, et une cocoteraie le long de l’océan Atlantique et de la lagune.
Bien des richesses géographiques ou physiques du Togo jouent un rôle éminent dans l’essor économique du pays, constituant des sites touristiques attrayants et d’une grande variété. La région de Kara et la région centrale abritent la réserve de Fazao-Malfakassa avec ses buffles, ses éléphants, ses antilopes, ses oiseaux, ses hauts fourneaux d’argile du camp Massu et ses crocodiles sacrés de la rivière de Bapuré, etc.
La région des plateaux, au climat doux propose plutôt aux visiteurs le pic d’Agou, les forêts classées de Missahoe, d’Atilakoutsé, de Kpimé, le château Vial et les grottes aux chauves-souris de Kévénu, les forêts du Wawa et d’Irokos, le monastère de Dzogbégan, la cascade d’Akrowa aux vertus thérapeutiques, la ville-refuge antique d’Atakpamé, les ruines de la base allemande de Kamina.
La région Maritime est, pour sa part réputée pour ses plages de sable fin. Et plus d’un sera séduit par le lac Togo bordé d’une forêt sacrée, la ville historique d’Aného les rives du Mono où se prélassent crocodiles et hippopotames, la forêt classée de Togodo, domaine des biches, des phacochères et des singes.

Population

Depuis 1953, le Togo est l’un des rares pays africains à procéder régulièrement à un recensement général de sa population. Sur une longue période, les démographes estiment le taux moyen d’accroissement de la population à 2,7 % environ. En 1997, les Togolais étaient plus de quatre millions.
Une vraie mosaïque de peuples. Pas moins de quarante ethnies y sont recensées. La population se caractérise par son extrême jeunesse (70 % des Togolais ont moins de 25 ans) et une forte supériorité numérique des femmes. Le Togo peut aussi s’enorgueillir d’un des taux de scolarisation les plus élevés du continent.
Terre d’accueil, le Togo connaît un mouvement d’immigration intense et permanent en provenance des pays voisins (Bénin et Ghana notamment). Par comparaison avec les autres pays francophones d’Afrique, le Togo est l’un des pays dont la densité est la plus élevée : elle approche 110 habitants au Km2. Tous ceux qui sont allés au Togo une fois dans leur vie l’assurent : Les Togolais sont un peuple non-violent, souriant, courtois, travailleur et discipliné.

Religions

Du point de vue religieux, les Togolais sont animistes (dans toutes les régions), musulmans (les Kotokoli et les Haoussa dans le Nord, les Nago dans le Sud), et chrétiens (dans le sud et dans la région des Plateaux).


SOCIAL

Très diversifié dans ses mœurs et coutûmes, dans ses chants et danses, dans ses contes et rythmes musicaux, le Togo est, sans nul doute, une véritable mine de valeurs culturelles authentiques. Quelques semaines au Togo vous feront apprécier la diversité et l’extrême beauté d’un folklore dont chaque région offre, lors de grandes manifestations, de spectaculaires démonstrations de chants et danses que la pratique d’une tradition séculaire a su garder à l’abri de toute dégradation.


LES TRADITIONS

Le folklore


Région Maritime

Aného, capitale du peuple Guen possède l’un des folklores qu’on ne trouve nulle part ailleurs : Adjogbo, Gbékon, deux danses à l’accoutrement et aux figures fort originaux ont été classés au second rang lors du 1er festival mondial des Arts nègres à Dakar. Et que dire de la danse royale Djokoto ? Danse que l’on ne sort que rarement à l’occasion de cérémonies particulièrement riche en couleurs. Le pays des Guen recèle de nombreuses autres danses pittoresques que vous pourrez goûter sur les lieux. Outre les Guen, la région maritime comprend aussi les Ewé qu’on retrouve en partie dans le Kloto (région des plateaux). Ici encore, la variété et la beauté des danses sont saisissantes et fortes en émotion. Adewu, danse des chasseurs pendant laquelle les danseurs entrent en transe, est rythmé par des tambours dont on dit que le cuir est de peau humaine. Le rythme fébrile de cette musique ensorcelante fait vibrer l’âme ; mais attention, ne vous mêlez pas aux danseurs : ils sont incontrôlables lorsqu’ils sont en transe. En revanche, Akpéssé, danse de réjouissance populaires au rythme chaud et gai est accessible à tous, car elle est extrêmement facile à exécuter, et ne demande aucune leçon préalable. Rappelons que ces deux dernières danses (Adewu et Akpéssé) sont des danses traditionnelles éwé.

Région Centrale

Si vous manquez de visiter la région centrale, ne prétendez pas connaître le Togo. Des peuples charmants, accueillants et hospitaliers vous attendent. Connaissez-vous peut-être les kotocoli et les Bassar pour ne citer que ceux-là ? Sinon faisons leur connaissance à travers leurs danses et chants.
Demandez donc la plus belle de toutes les musiques de la région, celle du lithophone .Des connaissances vous feront voguer l’esprit au son de morceaux ensorceleurs exécutés sur des claviers de pierres dont ils connaissent seuls le secret et l’art.

-  kotocoli: Les kotocoli ont compris très tôt la puissance de la louange, mais de la louange sublimée à l’aide des flûtes appelées « Foyissi » et non celle proférée par la bouche qui ne se prive d’aucune occasion de dire des mensonges et des grossièretés. Quant à la mélodie, elle se passe de commentaire, surtout quand le griot, cet homme à la fois craint et admiré, est de la partie. Il faut l’avoir goûté. Vous resterez tout émerveillé par ces longues « récitations chantées » évoquant les moments glorieux du passé, ponctuées d’applaudissements et de rires. Mais il n’y pas que cela en pays cotocoli : il y a aussi le Lawa, danse de réjouissances populaires fort belle

-  Bassar: De charmantes jeunes filles aux seins nus vous présentent la danse des vierges appelées Abalé

Région des Plateaux

Vous voulez découvrir l’intérieur du pays ! Alors après la région maritime, arrêtez-vous dans la région des plateaux. Cette région n’échappe pas à la mosaïque des groupes ethniques. Vous rencontrerez les Akposso, les Akébou, capables de vous tenir en haleine sous le charme de leurs chansons mélodieuses et de leurs danses très risquées. A Atakpamé, cherchez à voir la danse Tchébé exécutée sur des échasses parfois hautes de cinq mètres. Cette danse articule des mouvements rythmiques aériens à vous couper le souffle, et cela dans une atmosphère musicale envoûtante. On raconte qu’on ne quitte pas cette danse sans avoir formé un nouveau couple.

Région de

la Kara

et des Savanes

En pays Kabyé, comme chez les Losso et les Moba, vous aurez la chance de voir des danses restées intactes: La danse Idjombé à Kpagouda (danse de circoncis, concerne les hommes de 20 à 25 ans, a lieu chaque année), la danse Kpatcha (a lieu tous les cinq ans à Kétao), la danse Habyè (danse de purification qui a lieu tous les cinq ans et mérite d’être vue). Vous n’avez certainement pas encore vu les danseurs manger des serpents vivants, des crapauds, caméléons, etc. Se sera une occasion exceptionnelle, la danse des Kondi de Dapaong : Cette danse, appelée aussi danse des circoncis des Moba, est l’une des plus importantes de la région.


Coutumes, Religions, Cultes

Les religions traditionnelles, appelées communément animisme, sont pratiquées dans toutes les régions. Elles reposent sur une conception polythéiste de l’univers. Ce panthéisme est composé de divinités diverses appelées Vaudou.

1. Le culte des ancêtres
Les ancêtres peuvent encore manifester leur courroux ; le sang de la chèvre, du mouton, des poulets est réclamé pour apaiser leur colère. Chez les Konkomba, par exemple, vous trouverez à l’entrée de chaque maison des « fétiches » dédiés à la mémoire des ancêtres et des sacrifices périodiques sont faits pour s’assurer leur protection.

2. Le culte vaudou
C’est le culte des grands esprits, comme Hébièsso et Dan qui sont à la fois des forces naturelles et des intermédiaires entre Dieu et les hommes. Les adeptes habitent des couvents où ils parlent une langue tenue secrète aux non-initiés et acquièrent de nouvelles habitudes. Le phénomène de possession est au cœur même du Vaudou. Cette possession est une communion parfaite entre l’adepte et le Vaudou.

3. Les cultes d’initiation
Les rites marquent le passage de l’individu d’une classe à une autre, ce qui lui confère un degré d’intégration plus grande au sein de la communauté.

-  Chez les Kabyé : On initie «l’Akpenou » c’est-à-dire la jeune fille et «l’Evalou »  c’est-à-dire le jeune garçon

-  Chez les Moba : On initie le « Kondi » c’est-à-dire le jeune garçon. Aux environs de 15 ans, les jeunes se retirent dans la brousse où ils passent le temps nécessaire pour apprendre à danser, à chanter, à conter, à recevoir des informations sur la sexualité, etc


L'artisanat 

Il est caractérisé par le tissage, la céramique, la poterie, la vannerie, la sculpture, la pyrogravure, le batik. Les artisans togolais utilisent des matériaux locaux simples tels que bois, fibre, argile, peau, etc. pour produire des objets d’arts authentiques et de grande valeur.

Région maritime

  • Lomé : L’artisanat dans le paysage urbain surprend l’étranger dès son arrivé. Aux abords du grand marché et dans les quartiers populaires de la capitale, le travail se fait au bord de la rue : artisans installés sur les trottoirs à l’ombre des arbres, échoppes de cordonniers, de bijoutiers, signalées par quelques sandales ou bijoux accrochés à la porte en bois…. , Ateliers de tailleurs, de menuiserie, baraques abritant un horloger, un coiffeur ou un sculpteur

  • Kouvé : L’habileté des potières de Kouvé (préfecture de Yoto) dans l’art de la poterie a fait de cette localité un gros centre de ravitaillement en articles variés de poterie

  • Agomé-Glozou : C’est un centre de poterie à usage essentiellement domestique sur le fleuve mono

    Région des plateaux

  • Kpalimé : Le centre artisanal de Kloto a introduit dans le tissage, la technique du macramé. A côté de cette nouvelle technique, des jeunes filles fabriquent à l’aide de cordes naturelles des sacs, des ceintures, des abat-jour, des nappes et des chemises de haute qualité. La section poterie-céramique fabrique et vend un grand choix de vases, de cendriers, de bols, etc. Les artistes du batik au centre artisanal de Kloto ont su associer admirablement cette nouvelle technique venue d’Indonésie au style artistique togolais. Le touriste trouvera représentés, des animaux, des personnages, des scènes de vie traditionnelle. Cette technique du batik se pratique avec succès à Kpalimé comme à Niamtougou

    Régions centrale et de Kara

  • Tchamba : Les artisans produisent les nattes de décoration, très colorées et ornées de motifs en losange ou en triangle à partir des ramures de palme. La pyrogravure se développe et présente aux touristes des milliers d’objets souvenir joliment décorés, exemple : des calebasses richement décorées, pleines ou ajournées

  • Kpagouda : 90% des femmes sont tisserandes

    Région des Savanes

  • A Koumongou (préfecture de l ’Oti ) on trouve de belles marmites et de magnifiques jarres



L’enseignement

A l’heure actuelle, le taux global de scolarisation atteint 71 % et se trouve parmi les plus élevés d’Afrique.
A Lomé, le taux de scolarisation est de 93 %. La situation varie d’une région à l’autre. Si dans la région maritime et celle des plateaux 55 % des enfants sont scolarisés, le taux est de 20 à 25 % seulement dans la région des savanes. Il faut souligner que dans presque tous les villages, il y a des écoles primaires et dans les préfectures, des CEG (collège d’Enseignement Général) ou lycées. Les établissements scolaires primaires, secondaires ou techniques appartiennent à l’Etat, aux Missions chrétiennes ou à des institutions privées laïques. L’Université de Bénin à Lomé dispense un enseignement supérieur de haut niveau.
Le Togo dispose de plusieurs écoles spécialisées pour la formation des cadres moyens indispensables à son développement économique.


      
Fêtes nationales

  • Fêtes religieuses : Pâques – Ascension – Pentecôte – Assomption – Ramadan – Tabaski - Toussaint - Noël

  • Fêtes légales : 1er janvier : jour de l’an ; 13 janvier : journée de recueillement ; 27 avril : fête de l’indépendance ; 1er mai : fête du travail - 21juin : martyrs du Togo

Fêtes traditionnelles

Au Togo, plus qu’ailleurs en Afrique de l’Ouest, le passé est intimement lié au présent. Les coutumes et les traditions sont partout vivaces à côté des religions importées. Des fêtes et des cérémonies ethniques innombrables rythment la vie et donnent lieu à des manifestations vivantes et colorées qui sont pour le visiteur des occasions s’apprécier les valeurs culturelles du pays.

  • Janvier : Kamaka – fête traditionnelle des Tem d’Assoli

  • Février : Tislim-Lifoni Oboudam- Fête des moissons dans

    la Kéran

  • Mars : Gadao-Fête des moissons des Tem de Tchaoudjo

  • Avril : Kurubi- Fête religieuse des jeunes filles de l’Oti

  • Juillet : Evala –Fête d’initiation : lutte en pays Kabyè (mi-juillet)

  • Août : Akpema –Fête d’initiation des jeunes filles en pays Kabyé (fin août) - Dzuwuwu-Za –Fête des moissons des Ewé - Hogbeza- Fête traditionnelle des Ewé de Yoto - Sintou-Djandjaagou-Fête historique des Nawdeba et Lamba de Doufelgou - Ayiza –Fête du haricot dans le zio - Odon-tsu –Fête des moissons dans l’Ogou - Kilikpo –Fête des moissons à Tchamba

  • Septembre : Agbogbo-za –Fête de la dispora Ewé à Notsè - D’pontr-Fête des moissons à Bassar - Adzinuku-za Fête des moissons à Vogan - Epe-Ekpe – Fête du Nouvel An des Guen à Aného

  • Novembre : Sinkaring-Fête d’initiation des Kabyé de

    la Binah

        Décembre : Habye-Fête religieuse des Kabyé de

la Kozah

(fête mobile : tous les 5ans, prochainement en l’an 2000) - Ovazu- Fête des moissons en pays Akposso –Akébou - Tingban-Pab- Fête des moissons des Moba de Tône

Publicité
Commentaires
M
N hésitez pas a partager cette article. Il en vaut vraiment le coup. j'ajoute votre blog à mes favoris. Amicalement,
M
Au passage, très bien votre blog :) j'ajoute votre blog à mes favoris. Amicalement,
B
Продаём навоз 6000р 10 кубов. Это органическое удобрение повышает урожай растений не только в год внесения, но и в течение нескольких последующих лет. <br /> Контактный телефон: 89264936670
D
Get the information your current piece of writing. The following content needs everyone really surely after which as a result of a individual, We discovered newest factors. That it was worth it to read
L
thank you !
ASSOCATION GENERATION CONSCIENTE
  • Association à caractère humanitaire, l'AGC est constituée de jeune dynamiques désireux d'offrir à la jeunesse africaine une chance d'émerger à travers des actions bénévoles de tous genres.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Publicité